La Hong Kong Securities and Futures Commission approuve de nouveaux échanges de cryptomonnaie
La Hong Kong Securities and Futures Commission (SFC) prévoit d’approuver davantage d’échanges de cryptomonnaie d’ici la fin de l’année. Cette décision permettra à plus d’échanges de fonctionner légalement à Hong Kong.
SFC vise à développer le marché de la cryptomonnaie à Hong Kong, et approuver plus d’échanges pourrait attirer de nouveaux investissements et encourager des pratiques commerciales sûres.
Les progrès des demandes de licence des nouvelles bourses de cryptomonnaie
Lors d’un entretien avec HK01, un média local, Julia Leung a partagé des mises à jour concernant les plateformes de cryptomonnaie qui demandent des licences.
Elle a mentionné que 11 plateformes ont déjà passé des examens sur place. Leung prévoit que ces plateformes progresseront davantage d’ici la fin de l’année.
Ces déclarations interviennent peu de temps après l’approbation de HKVAX, une bourse de cryptomonnaie locale. HKVAX prévoit de lancer sa plateforme au quatrième trimestre de l’année. C’est le troisième échange à Hong Kong à recevoir une approbation réglementaire, montrant que la région avance avec ses régulations en matière de cryptomonnaie.
HashKey et OSL avaient déjà des licences, mais celles-ci ont été mises à jour en vertu des nouvelles règles. La société mère de CoinDesk, Bullish, est également parmi les entreprises de cryptomonnaie qui demandent des licences.
Des règles strictes poussent de grandes entreprises de cryptomonnaie à retirer leurs demandes de licence
Certains estiment que les règles en matière de cryptomonnaie à Hong Kong sont trop strictes, ce qui pourrait compromettre son objectif de devenir un centre pour la cryptomonnaie et le Web3.
En août, un rapport a indiqué que la SFC avait identifié des problèmes avec certaines bourses de cryptomonnaie. Il a souligné que certaines entreprises comptaient trop sur quelques cadres pour gérer les fonds des clients et que d’autres n’en faisaient pas suffisamment pour se protéger contre les cybercrimes.
Le rapport a également montré que certaines grandes entreprises, comme Coinbase, n’avaient pas demandé de licences malgré une invitation du législateur hongkongais Johnny Ng. Cependant, Crypto.com figure parmi les entreprises présentes sur la liste des demandeurs de licence.
OKX et Bybit sont deux autres entreprises qui ont retiré leur demande de licence en mai. Elles n’ont pas donné d’explications pour leurs actions.
Source : techreport.com