Marché boursier en pleine ébullition à 11 jours de l’élection présidentielle aux États-Unis

How the stock market does the week before a presidential election

Préparer les marchés pour l’élection présidentielle américaine

À 11 jours de l’élection présidentielle américaine, Wall Street est en pleine anticipation, avec un climat d’incertitude élevé. Selon la dernière enquête économique de CNBC All-America, le Vice-Président Kamala Harris et l’ancien Président Donald Trump sont à égalité, à moins de deux semaines du scrutin. Les données montrent également un soutien plus important pour Harris parmi les femmes, tandis que Trump est en tête chez les hommes. Des craintes pré-électorales se sont manifestées sur les marchés cette semaine. Le S&P 500 a baissé de 0,9% depuis le début de la semaine, mettant fin à une série de six semaines de hausse. On peut s’attendre à davantage de turbulences la semaine prochaine à mesure que l’élection approche, mais l’histoire montre que tout n’est pas perdu pour le marché.

En remontant à travers les dix dernières élections présidentielles, CNBC Pro a analysé les chiffres et constaté que le S&P 500 a enregistré un gain médian de 0,76% la semaine précédant le vote. La semaine de l’élection elle-même, l’indice global du marché a enregistré un gain médian de 0,56%. Il est vrai que les actions ont été sous pression la semaine précédant l’élection lors des deux derniers cycles en raison de l’incertitude entourant chaque scrutin. En 2020, le S&P 500 a chuté de 5,6% la semaine précédant l’élection, puis a rebondi de 7,3% la semaine du vote. En 2016, l’indice de référence a perdu près de 2% la semaine précédente, puis a augmenté de 3,8% une fois la poussière retombée. En résumé, l’histoire montre que la semaine précédant une élection est historiquement stable. Cependant, les craintes renforcées entourant les deux dernières élections pourraient signaler des problèmes cette fois-ci également.

Impact sur le marché des dernières évolutions

Ce matin, ailleurs à Wall Street, KeyBanc a déclassé Apple en sous-pondération, citant des préoccupations concernant les ventes d’iPhone de la société. « Nous pensons que cela montre que l’iPhone SE n’est pas incrémentiel, et pourrait éventuellement cannibaliser les ventes d’iPhone 16, » a écrit KeyBanc. « D’après notre point de vue, si l’iPhone SE connaît du succès, les unités d’iPhone pourraient augmenter mais les prix de vente moyens pourraient baisser, contrairement au consensus. »

Source : www.cnbc.com

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